Road trip en Nouvelle-Zélande : le Northland

Northland, Nouvelle-Zélande
Tout en haut, c’est là qu’on va !

Nous voilà sortis de la région d’Auckland pour entrer dans le Northland, la première étape de notre périple néo-zélandais. Direction Cap Reinga, l’extrême Nord de l’île. Avec pas mal d’étapes intermédiaires bien entendu. Voici dans les grandes lignes la carte de notre itinéraire dans le Northland (départ de Whangateau et retour à Auckland non inclus).

Whangarei

Je ne sais pas pourquoi, je pensais monter par la côte ouest, ce sera finalement la côte est que nous emprunterons avec une première étape à Whangarei. Le coin a l’air super joli, avec beaucoup de balades à faire. On en repère deux ou trois assez longues pour enfin lancer les hostilités. On expérimente aussi nos premiers freecamps. L’occasion de découvrir qu’en ville ce sont la plupart du temps tout bêtement des parkings avec toilettes publiques.

Whangarei sous la pluie
Tout le charme de Whangerei sous la pluie…

Nous passerons trois jours à Whangarei. Trois jours de déluge continuel. On peut donc vous dire qu’au printemps il pleut sévère et il caille. Et qu’un dimanche pluvieux les lieux ont des airs de ville fantôme. La bibliothèque est super et qu’ils servent du bon café (pourquoi il n’y a pas un café dans chaque bibliothèque d’ailleurs ?!), le Camel café est un endroit chaleureux dont le café à la cardamome suffirait presque à réchauffer les cœurs un jour de pluie (on a dit presque hein…). Et les Whangarei falls au printemps après 48h de déluge, ça dépote sacrément ! Cette petite balade aura été la seule qu’on aura réussi à faire dans la région et ça valait le coup. On était quasi seuls et la cascade était assez impressionnante. Jolie surprise. Il paraît que le port est mignon, on ne l’a même pas vu.

Whangarei falls
Whangarei falls

Où on mange ? Le Camel Café est un endroit sympa, on n’y a pas pris de gros repas mais ça avait l’air très bon, c’est en tout cas très bien pour un goûter. Le café situé dans la bibliothèque est aussi un bon choix pour une petite pause à la fois studieuse et gourmande.

On dort où ? Il y a 3 free-camps à Whangarei. Tous 3 sont des parkings avec toilettes publiques (fermées la nuit). Petite préférence tout de même pour celui qui est le plus excentré et où le passage est moindre, il est situé au point de départ de la rando de la cascade, idéal pour bien commencer la journée.

Waipu caves

Glow worms à Waipu cave
Ceci n’est pas une constellation

En repartant, petit détour par les Waipu caves, plus au sud. B. est fan de spéléo et les grottes sont facilement accessibles. Impensable donc de rater ça. Elles sont réputées pour leurs glow worms. Des genre de vers luisants (plutôt des larves à vrai dire) qui couvrent le plafond. Il y en a dans de nombreux lieux en Nouvelle-Zélande, le plus connu étant Waitomo. Ca nous fait une occasion de découvrir le phénomène sans débourser un centime. La grotte est très facile d’accès. Après une gravel road un peu longue mais pas trop méchante, le parking est à à peine 100m de l’entrée. Il y a un peu d’eau et c’est assez argileux, prévoyez donc de bonnes chaussures et des vêtements que vous ne craignez pas de salir. Et une bonne frontale, bien sûr ! Pas de difficultés majeures en dehors du terrain parfois (très) glissant, c’est à la portée de tous. Après une centaine de mètres, éteignez la lumière pour voir une véritable constellation de vers luisants apparaître. Magique.

Matapouri

Prochaine étape de notre périple : Matapouri. On s’y arrête pour découvrir les Mermaids pools dont on a entendu parler sur le blog Sound Wave on the Road (dont on est au passage devenus super fans). Première impression : la plage est belle. Pour la première fois on dort dans un free camp avec vue sur la mer, on est contents. On est aussi envahis par les bestioles mais c’est une autre affaire. On en reparlera à l’occasion, parce que la Nouvelle-Zélande c’est beau mais c’est envahi de trucs qui piquent. Bref. Revenons à nos moutons (eux aussi très nombreux dans le coin). On commence par une balade depuis les hauteurs de Matapouri – admirez la précision – qui est sensée nous mener aux fameuses Mermaids. Sauf que de mermaids il n’y a trace. Et pour cause, ce n’est accessible qu’à marée basse. Il est 11h et après vérification la marée basse est à 16h… Bon, bon, bon… On se pose dans un café en attendant. Nous, dans un café ?! Noooon ?!!! On s’enfile le premier fish and chips du séjour. Je n’avais pas idée que qu’un bout de poisson frit à 2€ pouvait procurer autant de bonheur. Si, si, je vous jure, c’était super bon.

Balade sur les hauteurs de Matapouri
Balade sur les hauteurs de Matapouri

Retour sur nos pas donc quelques heures plus tard pour enfin profiter de cette merveille de la nature. Je vous assure que ça a plutôt intérêt à être bien ! On commence par longer la plage et un sentier invisible quelques heures plus tôt se dévoile à nous. C’est assez escarpé. Et pas à côté à côté… Il n’y a pas foule une fois arrivé à destination et essentiellement des locaux. Il n’y a pas beaucoup de piscines mais il y en a une qui est assez grande pour nager, avec vue imprenable sur l’océan et les vagues qui se fracassent sur les roches toutes proches. Il n’y a pas à dire, c’est beau. Attention toutefois, la marée remonte vite, prenez garde à ne pas vous retrouver coincé.

Attention, mise à jour importante ! L’accès aux mermaids pools est interdit pour une durée indéterminée en raison de la pollution causée par la baignade (et par l’incivilité de certains). La biodiversité des lieux étant fortement menacée, piscines et sentiers sont pour le moment interdits au public afin de leur permettre de se régénérer.

Où on mange ? A vrai dire, vous n’aurez pas trop le choix. Il y a une seule épicerie qui propose également de la restauration rapide. Bonne nouvelle, leur fish and chips est très bon. Le poisson gagne même la palme de meilleur fish du voyage.

On dort où ? Le free camp de Sandy Bay est idéalement situé sur la plage avec vue imprenable sur la mer. Attention toutefois à arriver tôt, les places sont limitées. Il y a deux free camp à proximité, tout aussi près de l’océan mais celui-ci est le seul qui permet de l’admirer depuis la fenêtre du van.

La plage de Matapouri
La plage de Matapouri

Paihia

Paihia, le lieu idéal pour s'essayer à la voile
Paihia, le lieu idéal pour s’essayer à la voile

On rejoint Bay of Island, une baie paradisiaque où on ne trouve pas moins de 150 îles. La route qui y mène est pour le moins… tortueuse. On rencontre des français sympas au camping. Ils quittent la Nouvelle-Zélande et nous lèguent une partie de leurs affaires et on partage un cidre (si par le plus grand des hasards ils venaient à passer par ici, merci). J’avoue qu’à première vue la baie ne me séduit pas outre mesure. En même temps le sable blanc et moi… On passe la première journée à errer de café en café à la recherche de wifi et de prises pour nos PC. On rencontre dans un petit boui-boui le monsieur le plus gentil du monde, qui branche tout notre bordel dans sa cuisine, discute avec nous, nous offre deux boîtes venant du traiteur japonais à côté et s’étonne encore quand on veut payer notre pauvre café. Vous sentez là ce trop plein d’amour pour ce parfait inconnu qui était l’incarnation même de la bienveillance ?

Le soir on quitte le camping de bourges qu’on s’était payé la veille pour un camp à 10$ à 25 min de là, The Cowshed. C’est dans une ferme et c’est très chouette. Les proprios ont l’air super gentils. Sauf que je ne comprends absolument rien à l’accent du monsieur (j’exagère, je comprends un mot sur 2 ou 3 en lui faisant répéter mais encore je ne suis pas bien sure). Mes grands-parents avaient des vaches, je rêverais de visiter l’exploitation mais je vous jure, l’accent c’est trop hard là, je ne me sens pas prête… En attendant on profite de la salle commune et de l’électricité pour se faire un repas sympa.

Les bassins de Ngawha Springs
Les bassins de Ngawha Springs (photo : Ngawha Springs)

Le lendemain matin, on fait la seule chose que Google connaissait dans le coin : des hot pools (wai, de l’eau chaude quoi). Ca a l’air rustique mais ça coûte 4$ alors on ne risque pas grand chose à tenter. Honnêtement, on n’y croyait pas trop à cet endroit paumé et vieillot, snobs parisiens que nous sommes. Et vous savez quoi ? C’était trop bien !!! Les eaux chaudes sont noir-charbon, les eaux froides blanc-de-craie. C’est improbable. Certaines piscines (baignoires plutôt) sont clairement trop chaudes pour que j’y plonge un orteil. Ca pue le souffre mais qu’est-ce que c’est bien ! Je ressors hyper détendue et avec le bronzage le plus éclatant que j’aie jamais eu, on dirait qu’on m’a plongée dans du cuivre. Je veux la même chose à côté de chez moi maintenant.

On retourne à Paihia pour un tour en voilier. Les activités sont chères en Nouvelle-Zélande, on a donc choisi la version courte en fin d’après-midi, au tarif plus abordable. On a choisi le R. Tucker Thomson. Petite déception, ce n’est pas un voilier ancien. Mais grosse admiration pour le mec qui a construit ça dans son jardin quand même ! L’équipage est très sympa, il y a un plateau de (bon) fromage, des boissons pas trop hors de prix pour ce qui veulent, on peut monter au mât, aider aux manœuvres et tenir le gouvernail et ils sont ravis de répondre à nos moindres questions et de partager leur passion. On n’est malheureusement pas allés très loin et on n’a donc pas beaucoup vu les îles de la baie mais rien que passer quelques heures à naviguer, en soi, c’était magique. On fait un petit tour à Russel en descendant du bateau. C’est tout petit mais c’est la première ville néo-zélandaise à laquelle je trouve du charme, comme quoi, tout n’est pas perdu. C’est assez huppé mais on trouve un bar sympa avec vue sur la mer où s’arrêter une petite heure avant de reprendre la route.

Balade sur le R. Tucker Thomson
Balade sur le R. Tucker Thomson

Où on mange ? Pour un petit goûter, sans hésiter chez notre nouveau copain du Letz café parce qu’il est trop gentil et qu’il sert des gaufres absolument énormes. Pour un café avec vue, le 35 Degrees South est idéalement situé sur la baie. Pour un repas sur le pouce, le Orange frog propose une cuisine « healthy » plutôt sympa. Et pour boire un verre à Russell, direction Swordfish club : jolie vue, bière pas trop chère et bonne ambiance dans le bar du club de pêche local.

On dort où ? Si on veut rester tout près, le Holiday park fait l’affaire, son petit plus ? la douche chaude à volonté (avec autant de pression qu’un vieil arrosoir, mais bon). 38$ la nuit en promotion pour un emplacement sans électricité, aucun charme mais toutes les commodités et près du centre. Si vous êtes près à vous éloigner un peu, on recommande chaudement The Cowshed. Un petit camping à la ferme, pas cher et vraiment sympa (douche chaude si vous n’êtes pas le dernier à passer et salle commune avec des prises électriques). Le plus ? les pools de Ngawha springs ne sont pas très loin.

Le joli port de Russell
Le joli port de Russell

Matauri Bay

Sur la route de Matauri, on s’arrête aux Rainbows falls qui sont sur notre chemin. On change les pneus du van dans une casse aussi mais tout le monde s’en fout – même si c’est sans doute la meilleure initiative qu’on est prise de tout le voyage. La cascade est assez jolie, accessible en 5min depuis le parking et en effet, il y a bien un arc-en-ciel qui se forme à côté. On peut se baigner dessous, c’est plutôt chouette. On y est passés en coup de vent donc on n’a pas trop eu le temps d’en profiter (un peu frustrée de juste être descendue de la voiture pour prendre 3 photos) mais il y a l’air d’y avoir une jolie balade dans le coin.

Cascade, Nouvelle-Zélande
Rainbaw falls

L’arrivée sur Matauri est une bonne surprise. C’est vraiment très beau. C’est vert et escarpé avec la mer d’un bleu éclatant au fond de la vallée. Les couleurs sont incroyables, on dirait que quelqu’un a passé le paysage sous Photoshop et a un peu abusé de la saturation (d’ailleurs, c’est vachement moins beaux sur nos photos qu’en vrai). La plage est magnifique et il n’y a quasiment personne, j’imaginais le lieu beaucoup plus touristique, c’est paradisiaque. Une excellente surprise.

Matauri bay
Matauri bay

En repartant on veut faire une petite balade. On en a repéré une mais impossible de trouver le point de départ. On se perd sur une gravel road qui finit en cul de sac. Et là, que voit-on ? devant une ferme, un petit panneau « cascade ». Ni une ni deux, on y va. Bon, on n’est pas trop sûrs de notre coup parce qu’on ne voit aucun chemin et qu’il faut visiblement entrer sur la propriété et ouvrir tous les enclos pour le trouver. On traverse donc au milieu des moutons (je vous ai déjà dit que je déteste les moutons ?). Finalement, on trouve le chemin. C’est très mignon, on voit plein d’oiseaux et au bout d’une bonne 1/2h de marche on tombe sur une petite cascade très jolie, pile à temps pour le coucher du soleil. Au retour, on croise des dizaines de perroquets. C’est assez féérique comme moment. Si jamais vous passez dans le coin, je vous conseille d’aller vous perdre sur la route après le golf et d’ouvrir grand les yeux…

Une cascade secrète près de Matauri
Une cascade secrète près de Matauri

Cap Reinga

Au loin, Ninety mile beach
Au loin, Ninety mile beach

On approche enfin du but de cette première étape du voyage : la pointe Nord. En route, on s’arrête à Kataia pour le Black Friday parce que j’ai besoin d’un maillot de bain (que je ne trouverai jamais à un prix décent, ce sera mon plus gros échec du voyage… oui, parce que je suis partie en oubliant mon maillot de bain^^). Pas de traces de soldes et tout est hyper cher. Pensez à faire le plein et les courses avant, c’est la dernière ville du Nord, c’est hors de prix. Un peu avant d’arriver à Cap Reinga, on voit un panneau « sand board ». Quoooiii ?! on peut faire de la luge dans le sable ?! On y va !!! Et là, au bout d’une gravel road, qu’est-ce qu’on voit apparaître ? Des dunes gigantesques, j’ai l’impression d’avoir été parachutée en plein Sahara ! C’est un peu tard pour louer des planches (parce que tout ferme à 16h en Nouvelle-Zélande…) mais on est bien décidés à revenir tellement le lieu a l’air fou.

La route de Cap Reinga – Te Rerenga Wairua de son nom maori – change de ce qu’on a vu jusque-là, la végétation est assez basse, c’est très escarpé, je trouve que ça a un côté presque volcanique (ne me demandez pas d’où vient cette impression !). C’est le point de rencontre de la mer de Tasman et de l’océan Pacifique. Pour les maoris, c’est le lieu où se retrouvent les âmes des morts avant de rejoindre l’au-delà. C’est beau ! Pas de réseau et on ne sait pas où on dort le soir. On continue jusqu’au phare, on s’en préoccupera plus tard. La marche jusqu’au phare est très rapide mais quelle vue ! La mer et l’horizon à perte de vue, quasi à 360°, c’est très impressionnant, on en aurait presque le vertige. C’est magnifique.

Cap Reinga Lighthouse
Le phare de Cap Reinga

On dort finalement dans le camp le plus proche où on découvre les campings à self-registration : on remplit un papier et on laisse la monnaie dans une boîte. On doit faire tous nos fonds de poches pour trouver l’appoint, au centime près. On est au bord de la mer, c’est super joli mais envahi par les moustiques et les sandflies. Le matin il pleut averse. On avait prévu une grosse rando, raté. On en fait une petite à la place qui mène de Cap Reinga au tout tout début de la ninety mile beach. La côte est très découpée et vraiment belle. L’après-midi, on reprend le chemin des dunes. Mais comme c’est mon coup de cœur de la région – voire du voyage, je leur réserve un article spécial avec plein de photos dedans (parce que je refuse de choisir !).

Où on mange ? Dans le van/la voiture. Il n’y a rien à des dizaines de kilomètres à la ronde. Prévoyez bien de faire des courses au plus tard à Kaitaia pour la durée de votre séjour.

On dort où ? Tout près du cap, à Tapotupotu. Le camp est proche de la mer, au milieu de nulle part. C’est 8$ par nuit et par personne, prévoyez l’appoint, le règlement est à glisser dans une petite boîte. Côté installations, c’est rudimentaire mais il y a des toilettes, un point d’eau (non-potable me semble-t-il…) et des douches froides.

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Waipoua forest

Kauri géant à Waipua forest
Tane Mahuta

En reprenant le chemin d’Auckland (passage obligé pour sortir du Northland), on s’arrête rapidement à Waipoua forest, réputée pour ses kauris géants. On y trouve un des plus vieux arbres du pays – Tane Mahuta de son petit nom, il aurait plus de 2000 ans ! C’est blindé de touristes, la marche qui y mène est une passerelle qui doit faire 200m et un gros tri par le vide a été fait autour de l’arbre pour le mettre en valeur. Il est certes impressionnant avec ses 14m de circonférence et 50m de haut mais j’avoue ne trouver aucun charme à l’endroit : c’est un peu l’usine. On essaie d’aller faire une balade un peu plus longue plus loin mais on se rendra malheureusement vite compte qu’elles sont toutes inaccessibles. Un champignon ravage la forêt et les chemins sont fermés pour éviter sa propagation, on n’aura donc à peu près rien vu de la région…

On dort où ? Sur la route entre Cap Reinga et Waipoua forest, à Raetea, un énorme freecamp dans un pré. Confort sommaire mais le lieu est agréable (et plein de sandflies) et permet de faire des balades dans la forêt au réveil.

En résumé

Les dunes de sable de Te Paki
Les dunes de sable de Te Paki

Le Northland c’était génial ! Beaucoup de gens le zappent dans leur tour de Nouvelle-Zélande, sans doute parce que c’est un peu un cul-de-sac (il faut repasser à Auckalnd pour en sortir), mais si vous avez le temps, ça vaut franchement le détour. C’est une des régions où on a vu les paysages les plus variés je pense, entre les plages paradisiaques, les collines verdoyantes, la forêt primaire, les grottes, les dunes… On en a pris plein la vue ! Mi-novembre il n’y a pas encore trop de monde et même si le soleil n’a pas toujours été au rendez-vous, c’était parfait pour bien commencer le voyage.

Ce qu’on a raté : Cap Brett, les balades dans Waipoua forest, Ninety mile beach (qui fait en réalité 90km), Spirits Bay, Te Kao Bay, le sentier côtier de Waipu, Whangarei heads.

Ce qu’on a préféré : Te Paki, mille fois Te Paki !!! Les mermaids pools à Matapouri. Waipu cave. L’arrivée sur Matauri Bay et sa cascade secrète. Les bassins d’eau chaude couleur charbon qui puent le souffre de Ngawha springs.

NZ : 10 jours dans le Northland

Pour nos adresse coup de cœur, rendez-vous sur la carte ici.


13 réflexions sur “Road trip en Nouvelle-Zélande : le Northland

  1. Nous on a terminé par le Northland vu qu’on repartait d’Auckland 🙂 et je confirme certains coins sont magnifiques. Par contre on n’est pas monté à Reinga car il pleuvait des cordes et au final on avait déjà vu tous ces paysages côtiers dirant notre séjour. Mais waipu est clairement a faire, c’est gratuit, c’est boueux, ya des anguilles et de l’eau mais c’est superbe !

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    1. Oui, c’est génial ! On a adoré Waipu. Les paysages à Cap Reinga sont assez différents de ceux du reste du littoral je trouve (même si on retrouve un peu la même végétation sur la West coast dans l’île du sud il me semble) mais sous la pluie c’est sûr que ça ne vaut pas trop le coup de faire autant de route 🙂

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    1. Les paysages sont vraiment magnifiques et je crois bien que le Northland est le coin où on a vu les paysages les plus variés, entre les plages paradisiaques, les dunes, la forêt… J’espère que tu auras l’occasion d’aller les découvrir 🙂

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